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En balade, né au vent
19 juin 2014

La dernière nuit (MORVAN)

Philippe BERTE-LANGEREAU publiait il y a quelques années maintenant "Dernière nouvelles du Morvan". Il nous a fait ce cadeau d'une nouvelle qu'il m'autorise à reproduire ici et à laquelle je me permets de joindre quelques clichés. 

Emouvante et universelle, si joliment mise en mots... à vos mouchoirs... 

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La dernière nuit

La matinée était superbe. Le soleil commençait à lever la rosée et le vieux poirier de la cour achevait de perdre ses feuilles. Les quelques fruits qui demeuraient sur ses rames feraient les délices des merles quand les premières neiges arriveraient.

Au pied de l'arbre, un amas de vieux fers qui s'entassaient là depuis plusieurs générations et dans lequel il venait chercher une pièce ou une autre quand il avait besoin de rafistoler. Il flânait justement au soleil généreux et comme désorienté dans cet endroit qu'il connaissait pourtant depuis ses premiers pas. Il alla vers les ferrailles au pied du poirier et, du bout de sa canne, souleva quelques vieux débris qui rouillaient là, dans le calme complet.

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Le téléphone sonna. Un sursaut le prit et du pas heurté des vieillards qui veulent se dépêcher, il se pressa vers la maison ouverte. Une angoisse le transportait. Il attendait ce coup de fil à la fois espéré et redouté. De sa vieille main de 89 ans, il décrocha le combiné.

« Allô ?

- M. Lemaître ? Oui, je vous appelle pour vous confirmer que nous passerons vous prendre demain matin à 8 h 30. Tenez-vous prêt, bonne journée, à demain.

- Merci... »

Il raccrocha. Son œil était vide désormais. La main sur sa canne, tremblante. Ses jambes, impuissantes. Les bords de ses yeux s'injectèrent de sang et furent inondés de larmes qui ne voulurent pas couler. Vieux Paul...

Dehors, le soleil resplendissait avec l'intensité d'un bleu ardent comme seules les journées, les superbes journées de l'arrière-saison savent en prodiguer. L'émotion s'atténua. Il se campa dans l'embrasure de la porte ouverte et regarda sa cour. La cour qui, du temps de son grand-père et de son père puis de lui-même avait tant vu passer de monde, de chevaux qui tapaient de la patte à chasser les mouches en attendant la mouture, de volailles qui s'ébattaient là avec les roulements des coqs qui appellent leurs poules à la provende, de crissements de roues, de toute la rumeur des campagnes qui s'était tue petit à petit pour ne laisser là qu'un épais tapis d'herbes folles et d'orties qui envahissaient le pied des murailles.

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Depuis plusieurs jours déjà, il avait entrepris, lentement et posément, de mettre tout en état. Dans les bâtiments, dans la maison, dans le jardin, dans le moulin : pas un endroit où il ne fut allé pour ne serait-ce que regarder une dernière fois. Il avait rangé. Symboliquement, certes, mais placé quand même quelques affaires qui traînaient.

Et puis, il était âgé à présent et il ne pouvait plus se permettre une mise en ordre réglée comme il l'aurait fait jadis. Mais enfin, la maison était en état.

Il descendit dans la cour. Où aller ? Que faire ? Tout avait besoin de lui ici. Et lui, il avait besoin de tout ici. Ma foi, il décida d'aller faire un tour dans le moulin. Le Paul Lemaître - le Paul - avait été meunier. Son activité avait progressivement décliné mais jusque dans les années 70, il travaillait toujours régulièrement pour la farine des animaux. Bien des gars du voisinage lui apportaient leur orge à moudre ou d'autres denrées. C'était pour leurs bêtes, bien sûr, mais c'était aussi parce qu'au moulin du Paul, on savait qu'il y aurait toujours quelqu'un avec qui causer et une nouvelle ou deux à apprendre. Et puis, l'Alice, la femme du Paul, était une personne accueillante et affable ; elle n'avait jamais pris de licence de bistrot mais chez elle, on ne mourait jamais de soif.

Tous deux parce que les circonstances, peut-être, ne leur avaient pas accordé d'enfants, avaient toujours aimé sentir du monde autour d'eux. 

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Le Paul entra dans son moulin. L'odeur de vieilles farines, acre et poussiéreuse, demeurait fermement imprégnée dans ces lieux. Depuis une dizaine d'années que la roue s'était immobilisée, la vie avait pris un autre rythme ici. Ce mouvement calme mais régulier, cette activité permanente et discrète, tout ceci s'était estompé avec le décès de l'Alice qui avait laissé le vieux Paul dans l'hébétude. Sa femme, la meunière chérie, l'avait quitté et il ne s'en était guère remis par la suite.

Plus haut, le hameau s'était peu à peu vidé, comme partout et le moulin, au fond de ce vallon fait de prés sillonnés par le torrent et le bief de la roue, semblait totalement inanimé. Mais le Paul avait voulu demeurer là. Où aller d'ailleurs ? Il s'était mis à faire ce qu'il n'avait jamais fait, sa tambouille, son linge et le reste et une voisine était venue un temps lui donner la main car il était bien désemparé au début. Et le temps avait coulé, il avait 89 ans à présent.

Et ce coup de téléphone...

Dehors, le temps était superbe. Il ressortit dans la cour, musarda ici, là, nulle part, un peu hagard dans cet univers pourtant si familier. Des images lui revenaient en tête : cette cour si vide à présent où l'Alice élevait toute une neurson d'oies, de dindes, de canes, de poulets, de poules dont elle vendait, jadis, les produits au coquetier qui passait chaque semaine collecter dans les fermes. Toute cette nombreuse basse-cour, dès l'aurore, partait en champ à l'aventure dans les prés voisins, sur le bief, dans la rivière en contrebas et ne revenait guère qu'en soirée quand l'Alice l'appelait de ses cris perçants qui résonnaient dans le vallon puis lui jetait un seau de grain.

Aujourd'hui, plus rien. Le Paul, après le décès de sa femme, avait gardé quelques poules mais il les avait données à un voisin des dessus quand sa décision fut prise. Le silence de cette cour noyée de soleil l'étreignit plus que d'habitude ; il n'avait jamais tant remarqué cet étrange calme, cette quiétude envoûtante.

Et puis, il se dirigea vers les soues. Là aussi, dans l'enclos qui renfermait autrefois une dizaine de porcs bon an mal an, engraissés généreusement avec les résidus du moulin, ce n'étaient que des orties géantes, d'un vert de bronze, qui poussaient sur cette terre nourrie pendant des générations d'un épais lisier noir et fertile en diable. L'ensemble avait le visage tragique de la désaffection et de l'inutilité. Plus de bruits, de grognements nerveux à l'approche de la pâtée. Le silence était là, étreignant.

Le Paul jeta un œil vide par-dessus le portillon qui permettait l'accès à Venfromis. Les orties, en ces veilles d'hiver, avaient perdu de leur superbe mais leur taille demeurait altière, conquérante.

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Ses pas le menèrent sans volonté vers la grange. Il en entrebâilla un des battants, vit au fond, à cul et haussant ses brancards vers le toit comme des bras dressés tragiquement vers une providence inconnue, « la voiture » bâchée de son père qu'il attelait au Mignon, un gros ardennais avec lequel il faisait ses tournées de meunier. Le véhicule ne servait plus depuis les années trente mais il avait tenu à le conserver. Sur la vieille bâche loqueteuse, pisseuse et décolorée, on lisait encore « JULES LEMAITRE, meunier au moulin de Jeuzot ».

Ses épaules en prenaient chaque fois un coup. Cette visite le navrait à chaque pas davantage. Tout le passé qui émanait des vieilles murailles du moulin assaillait ses 89 ans. Tant de souvenirs se trouvaient là. Tiens, la batteuse par exemple. Au pied du mur qui ceint la cour, il retrouva les quelques pierres qu'il avait choisies dans le temps pour caler la machine quand les bœufs du Duteil l'amenaient un soir. C'étaient toujours les mêmes, il n'avait pas à en rechercher tous les ans. Elles étaient rangées dans un coin, ne servaient que deux fois par an puis reprenaient leur place d'où personne ne les tirerait.

Tout lui remontait en mémoire.

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Il en eut assez. Il s'éloigna un peu sur la route du bourg et rejoignit le pont, un peu plus bas, voir si l'eau coulait toujours dans le Jeuzot. Il s'assit sur un des parapets, seul et tranquille, bercé par les remous de l'eau qui descendait en torrent. Et puis, il entendit causer. Il vit arriver une petite bande de marcheurs qui profitaient des jours agréables de cet automne de la Saint Martin. Il les regarda arriver. Quand ils furent vers lui - six scouts - les randonneurs entamèrent naturellement la conversation comme elle peut facilement s'établir sur une petite route de par ici. On causa du temps, de la rivière, du pays. Le Paul expliqua qu'il n'y avait plus guère que lui dans le coin et que, dans le pays du dessus, ma foi, il y avait quatre veuves et un vieux couple de Hollandais, « la jeunesse », qu'il ajouta. Les marcheurs entonnèrent la complainte des campagnes qui se meurent et des villes qui aspirent, des gens qui veulent le confort et les commodités immédiates et les litanies habituelles.

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Mon vieux Paul retrouva la fidélité du libre-penseur qu'il avait toujours été aux idées athées qui étaient déjà celles de son grand-père et de son père Lemaître.

« Le monde ne va plus guère, dit-il, et puis c'est pas le ciel qui va y aider... »

Les autres écoutaient le patriarche.

« Ah bon ?

- Ma foi non ; du temps du Père, ça allait encore tali-tala. Mais depuis que le Fils a repris, rien ne va plus !

- Mais il y a la Vierge Marie.

- Oh ! La Marie, y a longtemps qu'elle a tourné le bouchon ! »

Les jeunes gars avec leur fanion en restèrent bouche bée. Et le vieux Paul ayant retrouvé un peu de verve, s'en trouva ragaillardi. Il avait toujours lu La Terre, le redoutable journal communiste des campagnes qui marquait nettement son homme à gauche.

Voir ces coustes — comme disait la Marie Gally — lui avait changé les idées et ravivé un peu son anticléricalisme de choc. Du coup, les coustes reprirent leur chemin en se demandant quel donc pays païen ils foulaient de leurs brodequins. Le Paul les regarda s'éloigner. Son coup de la Marie qui avait tourné le bouchon n'était pas pour lui déplaire !

Mais il ne tarda pas à retomber dans la mélancolie qui l'habitait depuis plusieurs jours. Cependant, saisi par on ne sait quelle énergie nouvelle, il lui prit d'aller voir dans son pré s'il n'y avait pas quelques rosés tardifs pour se faire une omelette. Une dernière petite gourmandise qu'il ne se refusa pas. Il en trouva quelques poignées qu'il rapporta dans son mouchoir et que, méthodiquement, il éplucha et prépara avec deux œufs qui lui restaient de ses poules.

L'après-midi se passa tout aussi paisiblement que la matinée. Il s'assit sur le petit plateau qu'il avait posé sur deux piotons et s'assoupit un peu à la chaleur légère de ces derniers soleils d'automne. Personne ne passa sur la route, pas une voiture, rien. Sur le coup de cinq heures, le petit car scolaire fit son apparition au tournant qui monte au moulin. C'est tout. Et le Paul se dit que demain il ferait encore beau. Trop d'indices qu'il avait appris de ses parents et grands-parents le lui disaient. Enfin le soleil déclina derrière la Tête de Sonne. C'était bien la dernière fois qu'il le verrait se coucher d'ici. Et, accablé de cette nouvelle évidence, il s'achemina lentement vers le toit du bois, s'y chargea une brassée de quelques morceaux de hêtre pour sa cuisinière et regagna son logis. Néanmoins, il ne ferma pas la porte et écouta quelques bricoles à la télé. « Ai d'vont pas en m'zer souvent des coume çai, de rosés, là-bas. » Un dernier petit plaisir qu'il s'accordait dans cette intimité totale et tranquille. Il mangea, but un ou deux canons, débarrassa sa table, fit sa vaisselle. Le brun du soir pénétrait lentement dans la pièce qui devenait sombre à présent. Il alluma le néon, écouta les quelques nouvelles et partit se coucher dans sa chambre contiguë. « S'ot mai darnée neut ichi » se dit-il. C'était la dernière, en effet.

Il ne pouvait dormir. Un chapelet de souvenirs, l'un poussant l'autre, lui revenaient en tête, insistants. Il passa en revue tous les habitants du hameau et du moulin qu'il avait connus et côtoyés et qui étaient morts ou partis. Il en compta cinquante-six et il se dit qu'ils n'étaient plus que sept avec lui et que la plus jeune avait 67 ans.

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C'est le Léon Joindot qui lui tint compagnie le premier. Le Léon qui s'en allait tous les ans arracher les pommes de terre dans la Seine-et-Marne et qui revenait avec des histoires à dormir debout qu'il servait aux gens d'ici quand il descendait discutailler au moulin.

« Tins, mon grand Paul, des treuffes coume çai quai l'ont là-bas ! Des treuffes, i n'te mens pas, ai se tailler ine pée de sabots dedans ! » Et on riait à l'entendre, en parlant fort pour couvrir le bruit des meules qui, mues par la roue, raclaient inlassablement le blé dans un ronronnement de fond. Un jour qu'il était revenu de sa campagne de pommes de terre, le Léon leur en avait sorti une bonne aussi de derrière les fagots. Il prétendait s'être blessé avec un fil de fer rouillé et racontait avec force détails sa tournée à l'hôpital de Meaux. « Ai m'ont fait des piqûres d'aiquand des seringues longues coume çai » disait-il en montrant trente bons centimètres. « Peu au bout de lai seringue, ine pointe de chevron ! » Des tonnerres de rires ébranlaient le moulin et le bruit des meules passait alors en totale sourdine ! Mais avec le Léon, on était sûr de passer de bons moments, crénom. C'était comme le jour où il était passé sous un tombereau - pas sous la roue ! - lorsque les bœufs avaient reculé pour décharger les biottes, les betteraves. « Tu parles si j'ai été pou ! I vouèjé lai jante de la reue arriver chu mouai ! I feut mort dangereusement sot sûr ! » Et l'auditoire se pliait, sachant bien que le Léon en rajoutait à sa sauce et se faisait passer allègrement pour un héros.

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Et puis une autre lui revint en tête. Mon Léon avait appelé le médecin pour tenter quelque chose sur sa belle-mère qui était bien près de passer l'arme à gauche, totalement tassée au tréfond de son vieux, fossâ, son lit de coin en bois de chêne. Le praticien déclara au bout d'un moment : « Je vais lui prescrire un autre médicament, on verra bien, mais il ne faut pas s'attendre à des miracles.

- Oh ! docteur, c'est pas la peine, vous savez. J'ai déjà commandé la bière. »

Et il prétendait, dans cette tournée au moulin, que la vieille s'était alors dressée sur son lit comme un diable qui sort d'un bénitier ! Avec le Léon, il y en avait à boire et à manger, toujours.

Mais au sein de tous les souvenirs qui remontaient en lui, il reconnaissait le frôlement minéral des deux meules l'une contre l'autre, le clapotis et le barbotis de l'eau sur la roue inlassable, le mouvement de la blutterie, les hommes qui discutaient, les sacs qui se remplissaient, le va-et-vient ici et là, à droite, à gauche, les courroies, les engrenages, la poussière, les appels, les chaînes et le reste et tout ceci s'embrouilla dans ses yeux ouverts sur le noir. Tout à coup, il entendit sonner la demie de minuit à la vieille comtoise de la salle voisine.

Il n'y tint plus. Il était pourtant économe — au point de dire, lorsqu'il payait sa note d'électricité, qu'il y en avait plus cher de frais de mandat que de facture ! - et cependant, il alluma toutes les lumières de la maison ainsi que la lampe de cour.

Il s'habille avec une énergie déterminée, sort, s'engouffre dans le moulin dont il allume les quelques ampoules. Saisit un sac de blé qu'il réservait à ses poules, le verse dans la trémie tant bien que mal à l'aide d'un seau et s'en retourne dehors. Vite, l'escalier du bief, la pelle et voici que l'eau se précipite dans la goulotte qui la dirige sur la roue. La roue qui n'avait presque plus tourné depuis dix ans. Mais qu'importe, elle se remet en batterie et reprend lentement son mouvement obstiné. Et le vieux Paul retourne au moulin, règle ses meules et bientôt, les bruits familiers ressurgissent et son visage s'illumine. Ce fut une fête pour lui de revoir, de réentendre son moulin en mouvement, ses machines palpiter à nouveau, le grain se broyer, la farine couler, la roue ébranler de ses mouvements le mur du pignon. Cette farine de son, chaude et humide, retrouvait son parcours jusqu'au sac. Il les revoyait toutes, ses pratiques, il reprenait du service et les murs, à nouveau, résonnaient comme une ruche en émoi. Le Paul retrouvait son métier, les rumeurs et la vie de ces lieux.

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Il fut quand même surpris, le lendemain matin, lorsqu’'une voiture s'arrêta devant le bâtiment et qu'un homme en sortit.

« Vous êtes prêt, M. Lemaître ?

- Ah ! oui, attendez, j'avais oublié tout ça. » Et calmement, il remit tout en ordre après cette nuit fiévreuse. Une demi-heure après, il arriva avec sa valise et lança « allons, allons-y cette fois. »

Et c'est ainsi que Paul Lemaître, meunier, quitta définitivement le moulin de Jeuzot pour entrer à la maison de retraite du canton.

¤¤¤

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Commentaires
B
J'ai dégusté... que dis-je, j'ai savouré ce texte dont j'avais deviné la conclusion dès le début, même si j'avais craint un moment qu'il ne se jette dans le torrent après la rencontre des coustes. Quelle belle langue dans sa simplicité (et même le patois que j'ai pu décrypter !)<br /> <br /> J'aime cette littérature qui fait revivre les femmes et hommes dans leur passé
A
Tout à fait d'accord avec toi !<br /> <br /> Mais le " Plus d'animation pédagogique " j'ignorais .<br /> <br /> Allez , Va faire un tour de vélo , Y a que ça de vrai, la nature !
A
Bon courage et ton domaine est un des plus difficiles .J'ai beaucoup d'admiration pour vous et privé rattaché à l'état ou public , vous ne savez pas ce que sera demain et ça c'est le pire .Je reconnaîs que nous étions moins dans l'incertitude quand je bossais .<br /> <br /> La solution serait de s'en f...Mais ciontrairement à une idée répandue , peu d'enseignants sont dans ce cas .<br /> <br /> le compatis vraiment et c'est vrai je n'ai qu'un oeil extérieur , finalement .<br /> <br /> Bon week-end quand même
A
Oui, j'ai bien compris t Les 3 ans seront longs , c'est sûr.Et la réputation , je la connaîs .<br /> <br /> Je me tiens au courant peu quand même .Les ministres ont tous fait des c..dans l'EN et ça continue .<br /> <br /> Mes enfants , purs produits de la Laîque , ont choisi une autre école pour leurs enfants !!!!
A
Les sabots , c'est décoratif aussi .Super , si tu as ressorti l'accordéon .<br /> <br /> 62 ans , c'est un honneur : on te considére comme une une trop bonne enseignante et on ne veut plus te lâcher !je plaisante .Mais quand je dis être partie à 55 ans , on me regarde de travers .Mais ça c'était en l'an 2000 !<br /> <br /> Bon courage ! Je pense bien à votre boulot qui est de moins en moins facile !
En balade, né au vent
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"Mais en maniant la hache et le passe-partout, j'ai laissé vagabonder mon âme dans l'espace chaud et parfumé, et elle est revenue riche d'une récolte inestimable."
Henri VINCENOT
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